Les précautions à prendre lors de la prise de stéroïdes
Les recommandations internationales divergent légèrement en ce qui concerne les contre-indications. Le rôle de la T dans le développement et la progression du cancer de la prostate est controversé depuis la première description en 1941 par Huggins et Hodges de l’effet de la castration sur le cancer de la prostate [94]. La supplémentation en T n’entraîne qu’une augmentation limitée et initiale (dans les 6 premiers mois) du volume prostatique et du PSA [89].
La croyance qui veut que la diosgénine (qu’on retrouve surtout dans l’igname sauvage, mais également dans d’autres plantes, notamment le soya, le trèfle rouge et le persil) soit un précurseur de la DHEA n’est pas fondée (voir la section Sur les tablettes). Les suppléments de DHEA qu’on trouve aux États-Unis sont le résultat d’une hémisynthèse chimique réalisée en laboratoire à partir de phytoestrogènes provenant de l’igname sauvage ou du soya. Ces réactions peuvent se produire pendant ou immédiatement après l’injection et sont réversibles. Si vous avez dautres questions sur lutilisation de ce médicament, demandez plus dinformations à votre médecin ou à votre pharmacien.
Voir aussi les substances
Cependant, la signification de ces événements a été jugée discutable car ils se sont principalement produits chez les sujets recevant les doses les plus élevées [49, 54]. En conclusion, le faible niveau de preuve de la littérature ne permet pas de statuer sur un éventuel sur-risque cardiovasculaire chez les patients traités par la T. La seule alternative viable et légale prend la forme d’un complément alimentaire pour la musculation du nom de D-Bal.
- Le risque principal réside à une poly-consommation liée aux objectifs qui ne sont pas que la performance, mais également pouvoir oser le faire, et se « défoncer ».
- Beaucoup sont interdits à la vente en France, et il est même illégal d’en détenir !
- Plusieurs méta-analyses [64, 65] ont conclu que le traitement par la T n’était pas associé à une augmentation du risque d’événements CV ou de la mortalité.
- L’administration de forte dose méthyl-prednisolone IV se fera toujours en milieu hospitalier en vue de surveiller les effets du traitement (poussé hypertensive en particulier).
- Elimination Les corticoïdes sont éliminés sous forme de dérivés inactifs dans les urines.
- Renseignez-vous donc toujours avec beaucoup de rigueur et de minutie pour ne prendre aucun risque légal et physique.
Les glucocorticoïdes de synthèse sont des médicaments qui dérivent de l’hormone naturelle, le cortisol, et qui furent développés en vue de maximiser les effets glucocorticoïdes et minimiser les effets minéralocorticoïdes. Les “corticoïdes” est le terme communément utilisé pour parler des glucocorticoïdes, sujet traité ici dans cette page. Les glucocorticoïdes sont classés dans la classe thérapeutique des anti-inflammatoires stéroïdiens.
Ces derniers surviennent paradoxalement plus fréquemment chez les jeunes hommes utilisant la faible dose de ce médicament indiquée pour combattre la calvitie (1mg) que chez les hommes plus âgés recevant la plus forte dose (5mg) contre les problèmes de prostate. Les hormones masculines sont à l’œuvre dans ce processus, notamment la dihydrotestostérone (DHT), un androgène très puissant dérivé de la testostérone. Elle freine l’activité du follicule pileux qui permet la croissance des cheveux et précipite leur chute. Chez la plupart des hommes atteints de calvitie, la production de DHT est augmentée.
Cholestérol, insomnie, acné… de nombreux effets secondaires
La législation perçoit les stéroïdes comme des stupéfiants et y applique les mêmes règles. Renseignez-vous donc toujours avec beaucoup de rigueur et de minutie pour ne prendre aucun risque légal et physique. Le DT est associé à une réduction de la masse maigre, à une augmentation de la masse grasse, à l’hyperglycémie, à l’hyperlipidémie et à l’insulinorésistance, ce qui contribue à de nombreux dysfonctionnements métaboliques, dont le syndrome métabolique. Un grand nombre d’études, y compris des essais cliniques randomisés, des études d’observation et de registre, ainsi que des méta-analyses, ont documenté le fait que le DT est un facteur de risque indépendant pour le syndrome métabolique [104, 105].
L’activité physique et sportive reste recommandée en cas de prise de corticoïdes. L’ibuprofène (ADVIL, NUROFEN, SPEDIFEN) serait toxique pour les testicules selon de nouveau travaux issus d’une collaboration internationale entre des chercheurs français, danois et chinois. Cette toxicité pourrait aboutir à une baisse de la production de testostérone à terme. Cette toxicité concernerait tous les anti-inflammatoires non stéroïdiens de la même famille (DICLOFENAC, CELECOXIB, KETOPROFENE, NAPROXENE, etc.)….
Édulcorant : l’aspartame pourrait être cancérogène mais uniquement à très fortes doses
Vous l’aurez compris, l’idéal est de mixer ces ingrédients pour stimuler chacune de ces hormones pour créer un environnement anabolique maximal. Il ne faut pas confondre les stimulants hormonaux avec les stéroïdes et facteurs de croissance qui agissent à l’opposé. Vous cherchez à en savoir plus sur les stimulants hormonaux et les boosters de testostérone efficaces? Notre guide complet vous explique clairement ce qu’est un stimulant hormonal naturel et quelle est son utilité en musculation.
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Les taux de T doivent être déterminés chez les hommes présentant une anémie inexpliquée (N2, grade B). Le traitement par la T peut améliorer le désir, la qualité de l’érection et d’autres symptômes sexuels (N1, grade A). En France, les contre-indications indiquées par l’ANSM et le VIDAL sont fonction de la spécialité.
Les contre-indications des anti-inflammatoires non stéroïdiens liées à certaines maladies
La situation pourrait en revanche être différente en cas de trouble de fertilité. Une analyse menée auprès de 14 hommes dans cette situation, ayant utilisé le médicament pendant 57 mois en moyenne, a montré que la concentration du sperme en spermatozoïdes a été multipliée par 11,6 après l’arrêt du traitement. Dans cette étude, les chercheurs déconseillent de prendre du finastééride en cas d’oligospermie.
Recommandations pratiques pour la prise en charge du déficit en testostérone
En plus du retard de croissance chez les adolescents, les stéroïdes peuvent déclencher la croissance de poitrine chez les hommes. Cela peut être dû au fait que la structure chimique de certains stéroïdes anabolisants est convertie en œstrogène, une hormone féminine, par une réaction chimique dans l’organisme. Les stéroïdes anabolisants, dont abusent certains athlètes, sont des versions synthétiques de la testostérone, une hormone masculine.
Un problème pour la production d’hormones
De nombreuses études et méta-analyses n’ont montré aucune aggravation des symptômes du bas appareil urinaire (SBAU) chez les hommes traités par testostérone [80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87]. Cependant, les études cas-témoins et pharmaco-épidémiologiques n’ont pas montré d’augmentation du risque healthy-gourmet thromboembolique veineux (TEV) sous traitement [68, 69]. Certaines études ont suggéré que le risque thromboembolique veineux (TEV) peut être augmenté en présence d’une thrombophilie même sans hématocrite augmenté, surtout dans les 6 premiers mois après le début du traitement [68, 69, 70, 71].